Introduction : Le vitiligo, la plus fréquente des hypomélanoses acquises est caractérisé par des zones de dépigmentation épidermique complète. Il touche environ 1,5 à 2% de la population mondiale, sans distinction de sexe ni d’origine ethnique. Le but de ce travail était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge du vitiligo à Bangui.
Patients et Méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale réalisée du 1er janvier 2021 au 31 Décembre 2022, dans le service de Dermatologie-vénérologie. Tous les patients chez qui le diagnostic de vitiligo était évoqué cliniquement étaient inclus dans l’étude. Les données étaient saisies sur Microsoft Word 2016 et Microsoft Excel 2016. Les résultats étaient analysés à l’aide du logiciel Epi-info 7.2.2.6.
Résultats : Etaient retenus 50 cas de vitiligo sur 4850 patients, soit une fréquence de 1,8 %. La moyenne d’âge était de 27 ± 10 ans avec des extrêmes de 2 et 72 ans. Le sexe féminin représentait 60 % avec un sex- ratio de 0,6. Un antécédent familial de vitiligo était retrouvé chez 2 patients (4 %). La forme non segmentaire était prédominante (58 %). La localisation du vitiligo était les zones photo-exposées, avec l’atteinte de la tête dans 40%, suivie de celle des membres supérieurs dans 36 %. Une atteinte génitale était retrouvée dans 8 % des cas. Sur le plan thérapeutique, les associations dermocorticoïdes, essence de bergamote et dermocorticoticoïdes, méladinine était utilisées. Dans un cas, une abstention thérapeutique a été décidée. Une repigmentation (60 %) était notée au bout de 3 à 4 mois de traitement chez certains patients.
Conclusion : Des cas de vitiligo étaient répertoriés à Bangui. Une étude prospective serait nécessaire pour l’obtention de plus de données.

Introduction : Le vitiligo, la plus fréquente des hypomélanoses acquises est caractérisé par des zones de dépigmentation épidermique complète. Il touche environ 1,5 à 2% de la population mondiale, sans distinction de sexe ni d’origine ethnique. Le but de ce travail était de contribuer à l’amélioration de la prise en charge du vitiligo à Bangui.
Patients et Méthodes : Il s’agissait d’une étude transversale réalisée du 1er janvier 2021 au 31 Décembre 2022, dans le service de Dermatologie-vénérologie. Tous les patients chez qui le diagnostic de vitiligo était évoqué cliniquement étaient inclus dans l’étude. Les données étaient saisies sur Microsoft Word 2016 et Microsoft Excel 2016. Les résultats étaient analysés à l’aide du logiciel Epi-info 7.2.2.6.
Résultats : Etaient retenus 50 cas de vitiligo sur 4850 patients, soit une fréquence de 1,8 %. La moyenne d’âge était de 27 ± 10 ans avec des extrêmes de 2 et 72 ans. Le sexe féminin représentait 60 % avec un sex- ratio de 0,6. Un antécédent familial de vitiligo était retrouvé chez 2 patients (4 %). La forme non segmentaire était prédominante (58 %). La localisation du vitiligo était les zones photo-exposées, avec l’atteinte de la tête dans 40%, suivie de celle des membres supérieurs dans 36 %. Une atteinte génitale était retrouvée dans 8 % des cas. Sur le plan thérapeutique, les associations dermocorticoïdes, essence de bergamote et dermocorticoticoïdes, méladinine était utilisées. Dans un cas, une abstention thérapeutique a été décidée. Une repigmentation (60 %) était notée au bout de 3 à 4 mois de traitement chez certains patients.
Conclusion : Des cas de vitiligo étaient répertoriés à Bangui. Une étude prospective serait nécessaire pour l’obtention de plus de données.